Face à des prix parfois exorbitants et une recrudescence des vols, n’est-il pas plus intéressant de louer son vélo électrique plutôt que de l’acheter ? Dans les grandes villes, la question se pose de plus en plus, alors que fleurissent des offres de plus en plus compétitives.
2021, c’est définitivement l’année du vélo et, même si après le boum des vélos en 2020, la pénurie guette, le public continue de vouloir utiliser ces deux-roues non polluants. Depuis le début de la crise sanitaire, le vélo électrique a le vent en poupe. Dans les grandes métropoles, les offres de location se multiplient, tant à destination des particuliers que des professionnels.
Les atouts de la location
Le prix d’un vélo électrique oscille généralement entre 1000 et 2000 euros selon les modèles et peut même s’envoler à près de 3.000 euros dans le cas d’Angell, le vélo design et connecté, ou plus de 7000 euros pour le dernier « speed bike » du fabricant Moustache !
Avec des offres comprises en moyenne entre 40 et 90 euros par mois, la location est très avantageuse, mais à court terme seulement.
La location a toutefois l’avantage de permettre de se familiariser avec la pratique du vélo électrique, qui peut ne pas convenir à tout le monde, voire même faire un peu peur. A noter aussi que la plupart des offres de location proposent également aujourd’hui une assurance, la plupart du temps en option. Elles comprennent généralement aussi l’entretien du vélo.
Pour une pratique régulière, optez pour l’achat
Après plus de deux ans, la location peut commencer à revenir bien plus cher que de s’acheter son propre vélo.
L’achat d’un vélo électrique est donc plus rentable pour une pratique régulière et sur le long terme.
Par ailleurs, en dehors des grandes métropoles, les offres de location se font plutôt rares. La question de louer ou d’acheter son vélo électrique s’y pose moins, en tout cas pour le moment.